Corinne Cahen participe à la Journée d'orientation pour signataires du contrat d'accueil et d'intégration

©OLAI
Corinne Cahen visite le stand de l’ADEM

Le 10 mai 2014, Corinne Cahen, ministre de la Famille et de l’Intégration, a participé à la Journée d’orientation, organisée par l’OLAI (Office luxembourgeois de l’accueil et de l’intégration) pour les signataires du contrat d’accueil et d’intégration (CAI).

Le CAI, créé par la loi du 16 décembre 2008 sur l’accueil et l’intégration des étrangers au Grand-Duché de Luxembourg, est un instrument novateur mis en place par le pays permettant de favoriser l’intégration des non-Luxembourgeois.

Tout étranger (UE ou pays tiers) âgé de plus de 16 ans, légalement installé au Luxembourg et désirant s’y maintenir de façon durable, peut signer un tel contrat, qui lui donne droit notamment à une séance d’information et d’orientation, une formation linguistique à tarif réduit, une formation d’instruction civique, de même qu’une journée d’orientation.

La journée d’orientation, organisée en collaboration avec de nombreux partenaires, doit permettre au candidat signataire d’avoir des informations sur la vie quotidienne au Luxembourg et de se familiariser avec les démarches administratives, les instances officielles et les organisations du Luxembourg. La journée d’orientation constitue en outre une occasion de rencontre et d’échanges interculturels dans un cadre convivial.

La Journée du 10 mai a proposé entre autres deux présentations (une au sujet de l’apprentissage au Luxembourg, l’autre au sujet de l’économie du pays), cinq ateliers au choix ("La participation politique", "Nos identités, notre intégration", "La création d’entreprises dans l’artisanat", "ADEM – facilitons l’emploi" et "La Bonne Information au Bon Endroit"), de même que des stands d’information.

Lors de son discours d’ouverture, le ministre de la Famille et de l’Intégration a remercié les signataires pour la volonté de s’intégrer au Luxembourg qu’ils ont manifesté en signant un CAI et a insisté sur le caractère réciproque de l’intégration, qui ne peut se faire "que s’il y a la volonté et l’engagement du côté de l’étranger comme du côté de la société qui l’accueille".

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